Visite imprévue

Manon était perdu dans ses dossiers de prevoté, douane duché en mal... quand elle entendit Bertille frapper a la porte et annoncer une visite.

Une visite? mais qui?

Manon se leve et ouvrit, bertille put voir une manon echeveulée de l encre sur les doigts.

Une visite de sir chris du val? vous dites.. faites le venir, j arrive dans quelques instants...

Manon soupira, elle avait surment l air d une folle au levé du lit, elle devait au moins se recoiffer, pour accueillir ce visiteur.

Bertille a écrit:

Bertille trottinait du même pas vers le bureau. Elle s'arrêta devant la porte et se tourna vers le prince. Elle le regarda intensément, épousseta son épaule pour en retirer quelque tache de poussière, tira sur sa veste pour la faire tomber un peu plus droite et arrangea sa mèche.

Il vous faut être présentable si vous voulez vous présenter devant Madame. Et surtout, n'élevez pas la voix, elle est fragile.

Prince souriait de voir la dame faire , il se rappella vaguement sa mere , etant petit lui montrant se qu'il devait faire et ne pas faire

Bertille a écrit:

Elle se tourna vers la porte et frappa trois fois.

Dame Manon, Sire Chris est ici.

Prince vit dame manon , il n'osa sourire en voyant la tache qu'elle avait , il regardait juste la personne

Bonjour Dame Manon , vous rappellez vous de moi , nous nous sommes rencontrer dans une taverne , un soir.
Vous m'aviez dit que si , je voulait vous rendre visite a votre domaine , je le pouvait . Alors me voila !

Prince attendit sa reponse

Manon fut surprise, elle avait pourtant invité tant de monde a venir, tous n etaient jamais venu, elle comprenait un peu, elle n etait pas une femme tres avenante. Mais lui avait osé venir la voir, elle sourit.

bienvenue sir chris, vous avez eu raison de venir, meme si ce domaine semble un peu endormit, il accueille tout ces visiteur avec plaisir.

Elle le fit entrer, et regarda Bertille.

Bertille, pouvez vous amener une collation? je suis sur que cet homme doit avoir faim.

Elle pria Chris de s installer confortablement.

Prince Chris entra dans la piece , il regardait le bureau , cela lui semblait rappeller celui de son pere , il y venait tres souvent , pour envoyer quelques missives , a droite et a gauche. Dont il ne savait point le pourquoi !
Mais tout cela avait eté detruit par la guerre et pillé .

Il s'attardait sur les moindres details , puis Dame Manon dit a la dame Bertille de lui apporter collation.

Oh non point trop soif . Mon destrier , en avait surement bien plus besoin que moi , tant le chemin fut long pour venir jusqu'a votre domaine.

Prince regardait la piece , il etait en admiration . Lui qui n'avait vecu qu'en une petite bicoque , qu'il avait su retapper de ses propres mains.
Puis avait du la reabandonner pour aller chercher son autre vie ailleurs , chose qu'il fit souvent malheureusement.

Puis il regarda Dame Manon, qui lui proposa de s'installer dans un fauteuil , mais fut gener , il n'osa pas s'y asseoir .

Bertille entra au même moment, avec tout ce qu'il fallait pour faire deux repas, manon sourit espérant que Chris ai plus d appetit qu'elle.
Elle leva le regard sur Bertille.

Oui Bertille, allez peut etre préparer la chambre d'ami, sir Chris ne repartira pas ce jour, c'est trop fatiguant.

Puis manon se tourna de nouveau vers son nouvel ami. Il avait pas l'air tres alaise .

Je voulais savoir pourquoi avoir quitté les Hospitaliers? Est ce pour raisons personnelles ou juste par manque de convictions.?

Elle prit sa main pour lui donner du courrage pour lui raconter ce passage.

Oh ma chere Manon ! Je dirait un peux des deux car voici pourquoi

Je voulu m'inscrire chez les hospitaliers pour y retrouver ma foi et pouvoir voyager et surtout aider les pauvres et misericordieux de notre si beau royaume mais voila ce qui gacha se si beau plaisir c'est que ...attendez que je vous conte mon histoire

En l'an de Grâce MCDXX, je vint a naître de parent Galaad et Elionor,en terre de Brocéliande.

Arriva la guerre en terre de Bretagne; je perdit mon père et ma mère ,très jeune. je fut recueilli par un maitre d'armes qui m'éleva comme son propre enfant. Il me donna a l'heure de sa mort , une dague et un pendentif .

Prince lui presenta , un pendentif ou etait representer une tete de jeune femme et avec un ecrit dessus presque illisible

Il me fit promettre de la garder et qu'elle me porterrai chance.

Plus tard ,Je partit sur les routes de Bretagne ,pour y trouver compagne , se que je fit , elle me donna une jolie fille , mais le destin avait choisi autrement , lors d'une ballade sur les routes , d'horrible vagabond , tua ma femme et ma fille et me laissant pour mourant sur le chemin.
Je reprit le chemin après avoir pu me soigner tant bien que mal ,errant dans les rues et chemin de France et de Navarre,tel un vagabond ,en vu de retrouver ma dignité et mon honneur .Je vais de la et de vaux quettant pour pouvoir rebatir une famille. Je m'installa en terre de bourgogne en ville de Cosne.Un soir par grande soif,je rentrât dans une taverne du nom de "Sans Murmures " j' y découvrît par l'aide de la tavernière du nom de melissa* de nouveaux amis,puis une charmante dame du nom de Maloucha.
Nous fiment nos présentations ,puis ayant appris qu'elle devait partir définitivement de Cosne ,je lui pria de rester avec moi . J'était tomber sous le charme de cette belle.
Les jours passa,j'apprit que cette Malou avait comme frère , Monseigneur Gédéon, Évêque de Nevers.
J'alla le trouver pour lui demander la main de sa soeur mais comme pour selon les us et coutume de l'église , il me fallait me faire baptisé ce que je fit. Mais un homme qu'il l'avait courtisé autrefois revenait et l'aimant encore , elle voulait nous departager par une joute vocal , ce que nous fîmes, elle nous indiqua a tous deux qu'elle allait decider , mais pour cela devait s'eloigner de nous deux pour l'instant.
Ma foi etait mis a l'epreuve encore une fois , est ce que le ciel allait il me la retirer de moi , pour cela pendant se temps je m'inscrit dans l'ordre des hospitaliers de st jean de Jérusalem d'où , j' y resta quelques temps.Car... vint le retour de ma belle malou , elle m' annonça que c'était moi élu de son cœur. mais quand un bonheur arrive si vite ceal presume toujours quelques chose.
Son frère , vint me voir et me fit promettre la main de sa sœur , si j'arrivait a rallier sa sœur a l'église et de la faire baptiser, j'accepta.
Malou et moi meme partit pour trouver un curé mais ont n'en trouva point. En chemin ,elle m'annonça ,une bonne nouvelle mais honteuse, elle m' annonça que le petit bébé n'était point de moi, mais de mon cousin Uniross , elle l'avait conçut lors d'un voyage que j'avait entreprit.
Je ne lui en voulait pas car il l'aimait tant. Par contre a mon cousin ...
Nous allames nous installer dans une auberge ou une charmante tavernière les accueillirent du nom de teia. elle accoucha d'une petite fille du nom de "lilliola" , j' était si content , je lui jura qu'elle ne deviendrait point une brigande.
Puis la vie continue..
Elle grandit et un jour ou j'était encore en vadrouille , j'appris la mauvaise nouvelle ,ma tendre était malade et mourra , je la pleura longuement. Je partit de Cosne pour rencontrer mes cousines .
A mi chemin, J'apprit que ma fille était avec son parrain Raider et que ce dernier lui enseigner de mauvais conseil. je voulu la retrouver, mais elle en avait décider autrement. Elle ne voulait point de moi comme père...

Prince devint bleme tout cela lui revenait a l'esprit , il lacha une larme

..mais comme amant. Je ne voulait pas , elle etait tout de meme de la chair de ma chair et voyant qu'elle ne voulait en aucun cas rester , je voulu en finir, je sortit cette dague que mon père adoptif m'avait donné et voulu en finir , mais lilliola s'interposa entre la lame .Elle courut dans les rues , s'enfuyant , perdant son sang a chaque coin de rues , épuisée et triste , elle se laissa mourir.

N'ayant pu la rattraper , je m'avoua avoir voué le pacte que j'avait fait avec sa douce , je décida de m'assigné a nouveau d'un coup de dague sur le coté. j' était la dans la taverne d'où était né mon amour pour ma belle, je perdait de mon sang , quand soudain une amie arriva et me trouva ainsi , elle me soigna et me fit promettre de ne plus recommencer et de prendre quelques jours de repos se que je fit.
Mais voyez vous ma chere Manon , cela me fit perdre a nouveau raison de ma foi alors , je decida d'arreter les hospitaliers et depuis ce jours je me voue a errer de ci de la dans ma tristesse qui fut encore par de la encore bien malheureusement touché .