Stalle de Prince Noir

Maginifique Destrier Frison, propriété de Dame Kalimalice

bonjour mon beau Prince veux tu bien me conduire en promenade

elle prepare sa selle ,tout en caressant cette magnifique bête puis grimpa sur lui

tous deux partir pour une longue chevauchée

Ces derniers temps kali avait un peu delaissé la demeure de ses amis et son cheval aussi se dit elle qu'une promenade lui ferait le plus grand bien elle s'approcha de Prince noir

Alors mon prince toujours aussi beau je vois que Corwyn s'est bien occupé de toi

Elle s'approche de Prince et l'embrasse sur le bout du nez ,il la reconnue et hennit
Elle lui mit sa selle ,puis une fois monter dessus ,ils partirent au galop ,les cheveux dans le vent Kali aimait faire corps avec son cheval

Arrivait à l’étable elle scella son cheval

Prince j’ai besoin d’une course folle à travers la forêt

Elle enjamba Prince noir et partit, pratiquement debout elle le menait au grand galop, ses cheveux dans le vent .Elle ne faisait plus qu’un avec l’animal
Toute sa colère passait dans la vitesse de se galop, elle ne pouvait croire que tout devait s’arrêtait ainsi, ni qu’elle avait profondément meurtri son mari
Des larmes coulaient sur sa joue, le vent les sécher, au fond d’elle il fallait que cette nuit s’enlève que ses souvenir disparaissent
Son corps, son cœur tout n’était que souffrance, sa colère, sa haine, que de sentiments affluaient, qui lui faisaient mal
Devant elle, défilait la forêt mais rien ne pouvait lui ôter tous cela de la tête
L’amour qu’elle avait pour lui était trop fort et tous son être n’était que mélange de sentiments .Elle pensait même à la mort qui deviendrait une délivrance, aussi cravachât elle son cheval pour accélérer sa course, elle prenait de plus en plus de risque malgré qu’elle soit bonne cavalière
Son visage lui brulait maintenant les larmes ravageait ses joues, elle avait envi de hurler
Elle se mit à implorer Aristote afin qui lui donne la force de continuer à vivre
La cavalcade commençait à la fatiguer et par la même sa colère s’estomper, aussi décidât elle de rentrer au domaine et de passer un moment auprès de ses amis, eux sauraient la réconforter
Elle commença à retenir son cheval

Tout doux on rentre au bercail Prince et au pas léger

Elle rentrait tranquillement au Val et finit par accepter ce qui s’était passé, Rhân resterait son ami et confident comme il avait toujours était

Kalimalice et Bulvaï entrérent en riant dans les écuries. Entendant la voix de sa maitresse, le cheval hénit. Les jeunes gens s'approchérent et Kalimalice présenta son cheval à Bulvaï, une magnifique monture couleur de jais. Tout en tenant la jeune femme par la taille, Bulvaï caressa de l'autre main le cheval entre les yeux et les naseaux. Le cheval ne bougea pas.

Il est magnifique et à le voir quand tu arrives, ce n'est pas qu'une simple monture, ce doit être un véritable compagnon.

La jeune femme se tourna vers lui

Tu veux bien t’occuper de le sceller pendant que je mets une tenue plus adéquate ? Puis elle s'éloigna.

Bulvaï repéra rapidement la selle, les mors, le tapis de selle. Il s'approcha de l'animal posa sa main sur son dos quand l'animal s'agita, réaction naturelle pour un coursier rempli d'énergie comme devait l'être Prince, l'homme était un étranger pour lui, aussi Bulvaï lui parla en le caressant doucement.

Doucement ... tout doux ... ta maitresse voudrait que je te selle.

Bulvaï posa la tapis de selle sur le cheval et s'appretait à installer la selle lorsque Kalimalice revint

Tu veux bien m’aider à dégrafer ma robe ? lui dit elle un sourire malicieux.

Bulvaï sourit et reposa la selle avant de passer derrière la jeune femme.
Il releva doucement ses cheveux et les rassembla, Kalimalice pencha la tête sur la gauche et il put les poser ensemble sur la droite pour qu'ils tombent du même coté sur sa poitrine, dégageant le cou, la nuque et le dos de la jeune femme. Il resta un instant immobile, admirant la nuque de la jeune femme sentant ses épaules frémir sous ses mains, sentant le parfum de ses cheveux, le parfum envoutant de sa peau. Il se pencha et baisa le cou de Kalimalice, s'attadant lorsqu'elle inclina la tête en arrière pour l'appuyer sur l'épaule du jeune homme.

Laissant ses lévres aller sensuellement sur son cou, il dégrafa doucement la robe.

Bulvaï regarda Kalimalice, le sourire aux lèvres lorsqu'elle se dégagea de ses bras. Ell partit vers le fond de l'écurie, la robe volante, dégrafée sur le dos faisant sourire encore plus Bulvaï, quelle femme !! Lorsqu'elle disparut de sa vue, Bulvaï retourna vers Prince, et lui chuchota prés de l'oreille.

Ta maitresse est formidable bel ami !! je vais te seller, nous allons nous promener tous ensemble.

Il ramassa la couverture de selle, l'installa, posa la selle et la sangla puis installa les mors et les rennes. Il venait de terminer lorsque Kalimalice revint du fond de l'écurie habillée comme il la connaissait, bottes, braies, chemise blanches. Elle s'arrêta, écarta les bras et tourna sur elle même en souriant.

Alors comment me trouve dans cette tenue que j’affectionne le plus

Elle te va à ravir. Il s'approcha d'elle enleva un bouton fermé trop prés du cou afin d'ouvrir légérement la chemise puis il posa ses mais sur ses hanches. Avec ce bouton en moins, ça va beaucoup mieux. tu es ravissante, que ce soit déguisée en homme ou dans une superbe robe de soirée qui épousait tes formes ravissantes.

Bulvaï sortit Prince de sa stalle et tendit les rennes à Kalimalice

Attends moi deux minutes veux tu, ma monture est juste à coté, je vais la chercher.

Quelques instants plus tard, Bulvaï sortit son cheval de l'écurie, s'arrêta devant Kalimalice, déposa un baiser sur ses lévres.

Nous pouvons y aller !! guide moi, améne moi au bout de la terre !

Les deux jeunes gens montèrent sur leurs chevaux et avancèrent doucement cote à coté alors que les premières lueurs du soleil coloraient l'horizon.

Chevauchant au pas cote à cote, souvent main dans la main, Kalimalice fit découvrir le domaine à Bulvaï et il écoutait les histoires qu'elle lui racontait, les anecdotes du domaine, de ses anciens propriétaires, lui montrant parfois les lieux particulers, des lieux qu'elle aimait, des lieuxoù elle venait pour se reposer, se ressourcer.

Je parie que c'est encore plus beau en été, quand il fait grand jour et qu'il fait suffisamment chaud pour se passer de mantel lui dit il en riant !

Grand sot !! lui dit elle en souriant, tu verras dans quelques mois, tu seras conquis par cet endroit enchanteur, je m'y efforcerai !

Mais je n'en doute pas un seul instant, je te taquine !

Elle regarda le ciel qui prenait des couleurs.

Les écuries sont à vue lui dit elle en les montrant du doigt, le dernier arrivé là bas à perdu. Elle lui mit une petite claque sur la tête ça t'apprendras à te moquer !

Puis lui envoyant un baiser d'un geste de la main, cavalière émérite, elle lança son cheval au galop, Prince tout heureux de se défouler, partit comme un carreau d'arbaléte. Bulvaï fit de même, mais son cheval n'avait pas les qualités physiques de la monture de la jeune femme et il restait derrière, n'arrivant pas à rattraper le pur sang.

Arrivée devant les écuries, la jeune femme attendait son soupirant toute souriante. Ils descendirent de monture. Bulvaï la prit par la taille

Tu as gagné, je suis ton obligé, dis moi ton gage ...

Le temps que Kalimalice réfléchissait, Bulvaï rentra les deux chevaux, enleva les équipements et leur frotta le dos avec de la paille puis il ressortit de l'écurie et rejoint la jeune femme assise sur une pierre, il lui tendit la main.

Pour vous servir ...

A peine eut elle fini de dire à Bulvaï quel était son gage que Kalimalice sauta dans ses bras et l'embrassa à pleine bouche. Il ne vacilla pas devant cet "assaut" et laissa la jeune femme passer ses bras autour de son cou pendant qu'il appréciait le baiser, incapable de la serrer dans ses bras sans la laisser tomber, puis elle le regarda avec le sourire de la victoire.

Bul tu permets que je t’appelle Bul ,je suis prête allons Y et ne me fais pas tomber.

Kalimalice se mit à rire, moquerie ? provocation ? mettrait elle en doute les capacités physiques de son soupirant ?

Bul ?? ce sont mes amis qui m'appellent ainsi, ça ne me dérange pas que tu m'appelles ainsi, mais es tu une amie ? suis je ton ami ? Il se pencha à son oreille et lui murmura:J'aimerais tellement que nous soyons beaucoup plus l'un pour l'autre... Peut-être qu'un jour tu trouveras autre chose, mais en attendant tu peux m'appeler Bul. Bon... direction la cuisine maintenant !

Bulvaï sortit de la stalle de Prince s'arrêta dehors à quelques pas et regarda autour de lui.

Euh ... je suppose que c'est dans le grand bâtiment qui se trouve la bas, mais ensuite il faudra que tu me guides, j'ignore où cela se trouve.

Portant Kalimalice dans ses bras, il se dirigea vers la porte principale du château, monta les marches du perron et poussa la porte d'un geste du pied.