Un peu de bonheur

Fred avait eu la plus belle des idées leur demander d’être parrain et marraine et tous deux avait acceptée
Elle dans son nouveau comté de Tolosa, lui sur le front dans le comté du Maine.
Toutes deux fières de l’honneur de cette demande, mais tous deux sachant que s’étaient l’occasion de se voir la cérémonie finie.
Aussi d’un commun accord décident-ils de se retrouver chez leur ami Johan, au Val ancien.
Le Val est pour eux tellement de chose, de souvenir, leur première rencontre, leur première étreinte .Un havre de paix pour vivre leur amour loin de la politique, la guerre et toute les pressions de l’homme avide de pouvoir.

Elle arrive la première, la température et clémente aussi décide t elle de l’attendre prés de la pièce D’eau, oui cette endroit où s'ouvre un petit espace abritant la pièce d'eau et une petite bâtisse pour se changer avant la baignade . Au détour d'une allée, la bâtisse est devant elle
Elle entre dedans. Repasse une main dans ses cheveux, défait son chignon, l laissent ses cheveux tombés sur ses épaules, secoue la tête afin de les mettre bien place, puis défroisse sa robe .Vraiment l’amour lui donne des envie de plaire, d’être à son avantage, il ne faut pas qu’elle le déçoive .Sort de l’endroit tous lui semble être parfait, cherche de quoi s’assoir, un banc pas très loin fera l’affaire
Elle s’assoit, elle l’attend son cœur bat au moindre bruissement, ses pensées vagabondes vers eux, vers leur avenir

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Ils étaient ensemble ce jour et Bulvaï était triplement heureux : heureux que Fred l'ait choisi comme parrain, heureux parce qu'à cette occasion il retrouvait Kalimalice son amour, enfin heureux car ils en profitaient pour revenir chez Didier et Dom, dans le domainedu Val ancien, ce domaine où il s'étaient rencontrés, ce domaine qui abritaient leurs amours, ce domaine où le temps s'arrêtait pour eux, ce domaine où ils devenaient homme et femme sans poste, sans charge, sans responsabilités, ce domne qui était pour eux un havre de paix.

Dés son arrivée, Bulvaï était allé se changer dans la chambre de Kali, il avait enlevé son haubert, avait enlevé sa ceinture qui portait son épée au pommeau de licorne, il avait enlevé sa cape où était incrustée une licorne d'argent symbole de son ordre. Il était descendu et avait pris un bain rapidement dans la rivière, le domaine de Didier était d'un des plus grand confort, mais Bulvaï avait encore certaines habitudes dont il avait du mal à se débarasser.

Il était revenu dans la chambre de Kali puis s'était changer. Il avait remit ses bottes noires, ses braies noires, une chemise blanche et un pourpoint noir, noir fidéle à lui même. Pas de ceinture, il était détendu, pas de couvre chef, il n'en portait jamais. Il passa par la cuisine, parlementa avec Bertille pour avoir un bouquet de fleurs puis il rejoignis sa bien aimée au jardin d'eau avec un bouquet de tulipes jaunes, rouges et oranges.

Elle était là, vêtue avec une robe sombre, Bulvaï lui aurait dit pour se moquer gentiment d'elle qu'elle s'était déguisée en femme, pourtant il aimait la voir ainsi lorsqu'elle ne guerroyait pas, il aimait sa féminité, elle était sensuelle dans ces moments où ils se retouvaient au Val Ancien car ils n'existaient plus l'un que pour l'autre.

Il s'approcha d'elle.

Bonjour mon amour ... tu .. tu es ravissante ...

Comme un adolescent qui découvre l'amour il lui tendit mécaniquement le bouquet de tulipes

Enfin il arrive, elle voit de suite qu’il a prit le temps de se changer.
Lorsqu’il lui dit bonjour son bouquet à la main, elle a l’impression de le voir pour la première fois.

Elle le regarde, le scrute, cherche les changements que le temps aurait pu opérer, mais non il n’a en rien changé, si peut être un peu amaigri par la guerre

Toujours le même, ses cheveux long sur la nuque qu’elle aimait à caresser, cette haute stature de bucheron lui avait il dit, même son choix de couleur toujours ses vêtements noirs.

Elle se lève, on la dirait à leur première rencontre, puis son cœur battant la chamade .Elle s’approche de lui et rougissante

Bonjour mon cœur ,merci pour le compliment et les fleurs .Je suis si heureuse de te revoir .

S’approche tout contre lui et dépose un baiser sur ses lèvres avec une infinie tendresse

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Bulvaï répond à son baiser, lui tend le bouquet de fleurs, finalement bien qu'ils se connaissent depuis longtemps, qu'ils étaient amants depuis quelques mois, il est un peu géné, plus à l'aise avec des soldats ou dans une taverne, était ce du au fait qu'il ne la voyait pas souvent en robe ? Ce n'était apparemmen pas le cas, Bulvaï aimait les longues chevauchées qu'ils faisaient ensemble, et pour ces longues promenades elle était vétue de braies et de bottes.

Je suis heureux de te retrouver, seul à seul ... cela fait si longtemps ... Comment vas tu en Tolosa ? arrives tu à vivre, à t'occuper ? es tu heureuse même si je ne suis pas encore à tes cotés ??

lui montant le chemin et le jardin d'eau qui s'étalait à leurs pieds

veux tu que nous marchions ?

Oui marchons cela me fera le plus grand bien j’ai tant de chose à te raconter.

Elle passe son bras sous le sien, appuie sa tête sur son épaule

J’ai fini l’installation de notre maison, et j’ai voulu m’investir tu sais que je ne peux rester sans rien faire .Je suis devenu conseillère municipale, mais malheureusement c’est un conseil mou

J’ai postulé pour l’armée et j’ai obtenu le poste de lieutenant de ma garnison

Ensuite je fus contacté par Aribe pour entrés dans son parti, je lui ai parlé de pourpre et cela lui a plus, j’ai invité les pourpreux et sont venues me rejoindre Ancelot et Spix.

Ensuite tu es au courant pour Ancelot, un imprévu de taille et il a du partir en retraite, quand à Spix les attaques incessantes sur la mairie et le conseil, on eu raison de sa patience et la voila en mode dilettante.

Puis un revirement de situation le Comte de régence refait une liste et reprend son conseil, donc Aribe, alors une liste est rapidement faite, avec malheureusement peu de gens compétents, peut être de bonne volonté mais la je ne vois pas et je me retrouve dans un parti qui ne parle pas, ne délibère pas bref ne fais rien.

Mais amour je m’étant sur la politique du comté et te parle pas de moi

Tu me demande si je suis heureuse, je te mentirais en disant oui.

Le fait que tu ne sois pas avec moi ne peux pas me rendre heureuse, c’est comme si une partie de moi n’avais pas suivi ce voyage.

Tu sais je me dit parfois que peu importe l’endroit ou on vit ,le duché ,le comté ,mon seul désir je crois et l’unique et d’être prés de toi .De vivre à tes côtés de pouvoir laisser exploser mon amour ,cet amour que je te porte .

Par moment j’ai peur qu’au cours de tes campagnes une autre femme fasse chavirer ton cœur.

Kali lui serra la main plus fort ayant peur de l’avoir agacé avec toutes ses histoires, se serre un peu plus contre lui

Amour je parle, je parle et toi parles moi de toi, comment se passe les choses

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Ils marchaient et elle lui parlait, lorsqu'elle évoqua les campagnes militaires et la possibilité de rencontrer une autre femme, Bulvaï sentit ses ongles dans son avant bras. Il la regarda lui sourit.

Rassure toi, Il n'y a que qui compte et tu me manques aussi, ceci dit je ne suis pas malheureux, étant en campagne, je suis la politique de loin, ainsi ça m'évite de me replonger dedans, si j'étais descendu en Tolosa avec toi, je pense que je m'y serais jeté tête baissée et les comportements que tu me racontes m'auraient sans nul doute dégoutté, j'aurais donc regretté le déplacement. Là j'ai un champ à Montargis, je suis Montargois mais finalement n'y serai quasiment jamais, soit je serai avec les chevaliers de la Licorne, soit je serai avec toi et cette situation va me permettre de ne plus m'investir politiquement pour un duché ou un comté, elle va me permettre de ne plus me faire de soucis, de ne plus me faire de sang d'encre lorsque je verrai des arrivistes au pouvoir et se moquer du reste, j'ai ouie dire qu'Isadam n'a pas beaucoup parlé lors de son couronnement, et bien tu vois je regrette pour les orléanais, mais finalement que les choses se fassent, je n'en porterai aucune responsabilité. Pour Tolosa, je ne sais pas si la stuation s'arrangera mais il semblerait que le soleil fasse tourner la tête de certains, par conséquent, je pense que si je viens à Castel, ce sera pour faire des études.

A part ça tout va bien, si on ne tient pas mpte du fait que nous sommes séparés. Je guerroie, je fais à manger pour mes frères d'armes quand le campement est suffiamment longtemps dans une ville, mais je ne te donne pas de détails, tu sais ce qu'est une armée en campagne.

Je regrette simplement que nous ne faisons plus trop de projets d'avenir, que non'avons aucune nouvelle de nos mariages respectifs et parfois je me demande si on a eu raison de vouloir aller dans le sud ... bon d'accord du fait de la guerre je n'ai pas pu y aller, mais tu y es allée, était ce bien raisonnable ?

Tous en continuant de marcher prés de lui son bras sous son bras i, sa tête sur son épaule,

Je ne sais pas si c’était raisonnable ce qui n’est pas raisonnable c’est notre séparation, c’est ce que je supporte le moins, l’éloignement je peux m’y faire. Je dis ça mais se n’est pas vrai mes amis me manque, mon village bref tous ce dont j’avais l’habitude.

C’est comme un vide que j’ai emmené au lieu de remplir mes malles, une été vide et c’est elle qui me manque le plus.

Et tu sais ce que s’est ce vide, c’et tous ce qui faisaient ma vie et toi .Toi bien sure qui a su prendre mon cœur, me conquérir alors que je n’y croyais plus.

Tu parles de notre mariage, mais pour moi c’est comme si nous étions marié, ce oui que l’on doit dire et bien je te le dis, oui j’accepte d’être ta femme, de te chérir, te soigner, d’être à tes côtés dans les bons moments comme dans les pires.

Alors pour le raisonnable je dis non, je veux vivre intensément ma vie, ma passion, mon amour, je veux juste laisser ce sentiment qui m’étreint faire son chemin.

Voila mon cœur se que je voulais que tu saches

Plus elle lui parle, plus elle s’emporte, sa main sert la sienne

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Il regarda d'un air mélange d'étonnement et de sourire, voire de gentille moquerie.

Ah bon ? nous ne vivons pas intensément ?? Il sourit largement.

Tu sais bien que c'est le cas, nous vivons les choses intensément ou nous ne les vivons, nous sommes semblables, nous allons au bout des choses que nous entreprenons ou nous n'entreprenons rien ! je sais c'est ainsi, regarde je cours aprés le breton au lieu d'être avec toi, et tu tentes de faire de la politique en Toulouse au lieu d'être prés de moi ... ceci dit je préfére courir le breton, il y a de l'honneur, la politique dans le sud n'est qu'un panier de crabes pour arrivistes plus ou moins compétents, ceci dit c'est peut-être toi qui a le plus de mérite.

Ils continuèrent à marcher silencieusement l'un contre l'autre sur le chemin de gravier qui contourne desbuissons merveilleusement taillés pour pas dire sculptés puis Bulvaï reprit

Je me suis souvent demandé depuis que tu es partie et que je n'ai pu déménager ce qu'il adviendrait : je sais que ton village et tes amis te manques, qu'adviendra t-il lorsque le duché de Toulouse sera politiquement stale et défendu ? Resteras tu là bas, ou reviendras tu en Orléans ? Bulvaï sourit. en tout ca, le panier de crabes il est aussi en Orléans en ce moment !!

Elle se mit à rire et serra son bras plus fort encore .Oui il savait, il avait toujours les mots juste, les mots qui la rassuraient, il l’a connaissait bien .Avec lui elle n’était plus la guerrière mais juste une femme

Tu as raison je suis idiote, nous vivons intensément.baissa la tête et rougit d'avoir pu dire pareille betise

C’est vrai que nous sommes semblable, c’est vrai que nous voulons aller au bout des choses et que nous ne faisons que se que nous savons que nous sommes capable de faire.

Elle marchait tout contre lui, de tant à autres le regarde et lui sourit, etreint son bras respirant l’air frais du jardin, ne voulant perdre aucun moment de ses retrouvailles, ne pas penser au moment ou encore ils se sépareraient.

Tu parles de mérite, je n’ai aucun mérite .Juste celui de ne pas m’endormir sur mes lauriers et de me battre pour mes convictions tout comme tu le fais

Je ne sais pas ce que sera la suite de ma vie à part te dire avec toi .Mais tu sais fort bien que pour les décisions nous les prenons ensemble .Et que un jour il faudra bien que l’on soit réunis dans un village, un comté ou un duché.
Peut être enfin marié aussi si les choses finissent par s’arranger avec l’église

Il lui plaisait de converser avec lui, leur amour ne passait pas que par leurs effusions mais par tous ce qui faisait leur complicité .Cet amour qui parfois lui paraissait irréel, elle se mit à serrer son bras plus fort encore.

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Ils arrivèrent au bout de la grande allée et tournérent dextre sur une petite allée transversale, elle continuait à s'accrocher à son bras comme si elle avait peur de le perdre.

Ahh l'église ! que les choses s'arrangent avec l'église ... j'avoue avoir quelques doutes, certains écclesiastiques manient l'hypocrisie comme moi l'épée heureusement que Fur est là pour nous conseiller mais son action reste limitée. Par ailleurs ces mêmes gens d'église détiennent un pouvoir, le pouvoir de diriger la vie d'hommes et de femmes, pouvoir qu'ils usent et peut-être même abusent parfois, je ne sais pas. Ils pourraient très bien nous interdire de nous marier sans que nous puissions y redire quoique ce soit, ce qui est paradoxal puisque ça nous obligerait à vivre dans le pêché ! Pourtant Ari n'enseigne t'il pas le pardon ?? Pourquoi l'église ne pardonne pas facilement les erreurs de mariage ? L'erreur n'est elle pas dans l'homme ? Ne pouvons nous pas être simplement pardonnés et nos mariages respectifs annulés pour cause d'echecs par une simple procédure rapide au lieu de devoir déposer demandes d'annulation et d'attendre le bon vouloir de l'église ? Quand je pense que rois et reines, nobles, aristocrates se cocufient à loisir non avec la bénédiction de l'église mais avec sa cécité. Parfois je trouve que l'église n'est pas proche du peuple, mais au contraire au loin.... .... en tout cas, il va falloir qu'on se décide, on ne veut plus vivre ainsi mais peut-être que l'église va nous forcer à continuer à vivre dans le pêché ... ... j'espère qu'on nous brûlera pas en place publique pour cela !!

Il partit d'un grand rire.

Marchant toujours à son bras, il était agréable de se promener dans un si beau parc .Kali apprécié cette conversation et cette promenade au clair de lune.

Elle l’écouta parler de l’église de son opinion sur cette rigidité de loi pieuse qui ne tenait pas compte de l’avis de l’être humain

Amour ton jugement est dur, mais tu n’as pas tord .Si l’église nous empêche de nous marier nous vivrons dans le péché, mais nous vivrons ensemble, que m’importe le regard des hommes, leurs jugements .Je suis sure qu’Aristote lui ne nous a pas fait nous rencontrer pour nous blâmer de nous aimer.

Notre amour est pure et nous le vivons dans le respect l'un de l'autre ainsi que celui des autres.

Si t’aimer est un pêché alors je suis une grande pécheresse, car chaque jour qui passe je t’aime donc je pèche, mais sache que j’assume ce péché il est égal au péché de gourmandise je ne peux me passer de ce péché tout les jours.

Un petit rire lui échappe .Elle le regarde avec un sourire malicieux, et en profite pour lui dérober un baiser.

Amour crois tu que nous soyons des impies pour mériter le bucher elle se mit à rire imaginant la scène.

Elle se tourna vers lui et lui dit tu sais ce que je désire, amour pécher et encore pécher

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Bulvaï la regarda étonné

Impies ??? mais je suis sur que pour certains écclesiastiques nous sommes pires, je ne doute pas que certains intégristes, les mêmes qui font de la politiques sans concertation, n'hésiterait pas à nous faire passer pour hérétiques. Où sont les hommes d'église comme Fur, Nicolas, Friga ? ceux qui se soucient du peuple, de leurs aspirations, de leurs attentes, ce sont eux qui détiennent la vérité d'Aristote, ce sont eux qui rassemblent les villageois dans la religion ! Certains ont choisit la voie de l'église uniquement pour se sentir au dessus des gens, ceux là sont dangereux car ils détiennent un pouvoir, le pouvoir de te juger au nom d'Ari alors qu'Ari est miséricorde.

Bulvaï se tut, il pensait justement à ces gens d'église qu'il aimait, Fur et les regrettés Nicolas et Friga, c'étaient pour des gens comme eux qu'il avait accepté le baptême.

Regarde pour se marier tous les deux ? toutes ces procèdures qui sont plus compliquées que celles de la cour d'appel ! et dire que, si j'ai bien comprit, c'est une seule prsonne qui rend son avis, on est pas prêt de se marier, j'appelle ça de l'abus d'autorité, du délit de sale gueule, honnêtement comment l'évéque peut être objectif quand Pourpre annonce vouloir séparer le temporel du spirituel quand ce même évéque siège au conseil des élus et qu'il est ou a été ...... juge ?

Elle se mit à rire de son étonnement, puis se ravisa, son amour s’emportait sur le sujet de l’église.

Amour relativisons tous cela, je sais de source sure que les archives ont brulé et que nulle trace ne reste de nos mariages. Alors ne nous occupons pas de l’église, et marions nous, comment prouveront ils que nous nous sommes déjà mariés.
Enimia souhaitait cette séparation, elle était venue me voir bien avant que je te connaisse pour annuler votre mariage, quand à Loulong malgré sa colère il n’a pas souhaité me mettre dans l’embarras donc ne pensons plus au passé
De toute façon ce mariage ne sera qu’une formalité pour que notre avenir ne se retrouve pas encore entaché de se manque d’officialisation.
La paternité t’étant interdite, nous ne risquons pas de nous retrouver avec un enfant qui serait considérer comme un batard .
Quoiqu’il se passe, je suis tienne et resterai tienne je t’en fais le serment.

Elle serra plus fort son bras confiante dans l’avenir, elle savait que sa vie était avec lui et que rien ne pourrais les séparé, seule la mort mettrait fin à leur union béni ou non par l’église.

Sa tête s’appuya un peu plus sur son épaules pour être bien sure que la était sa place

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Ils continuèrent de marcher le long du chemin herbe taillée à ras du sol au milieu de tous ces arbres et arbustes taillés géomètriquement lorsqu'ils arrivèrent devant le plan d'eau. Ils étaient seuls, et il ne percevait que le chant des oiseaux. Il faisait beau et chaud en cet aprés midi et la discution devenait un peu trop sérieuse au goût de Bulvaï, il se tourna prit Kalimalice dans ses bras ... puis sauta à l'eau !

Dans un premier temps surprise elle ne peut retenir un cri

BUL QUE FAIS-TU ? Tu as vu l’état de ma robe
Lui fit la moue, secoua ses cheveux, s’accrocha à son cou, se mit à rire, l’embrassa et lui susurra

Tu as raison cessons cette discussion et profitons de l’eau .
Elle sauta dans l’eau et commença à l’asperger, elle n’avait plus qu’une envie profitait de ce moment de bonheur d’être ensemble. Tout en continuant à l’asperger elle se mit à courir comme une enfant pour le narguer et qu’il la rattrape.

Viens amour, approches toi amour, n’es pas peur
Elle le regardait provocatrice la robe mouillée moulant son corps

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Elle le narguait, l'aspergeait d'eau, le provoquait avec des mouvements lent de son corps, sa robe complétement trempée mettait en évidence ses formes généreuses qui ne laissaient pas insensible son homme.

Viens amour, approche toi amour, n’aie pas peur

Elle riait, le provoquait avec un petit signe de la main lui indiquantde s'approcher.

Moi ? peur ?? peur de quoi ? de quelques gouttes d'eau ? il fait bon et chaud ... peur de toi ?? pfff tu n'es qu'une femme !!

Il adorait le lui faire remarquer, elle la battante, la guerrière, la soldat, elle était piquée au vif à chaque fois et cela amusait Bulvaï, la voir grimacer et l'entendre dire qu'elle n'était pas une bonne à rester derrière les fourneaux d'ailleurs elle n'avait pas encore fait la cuisine pour son homme, alors le laissait elle parce qu'elle savait qu'il aimait le faire ou simplement ignorait elle l'art de la table et du gourmet ? Il sourit à cette pensée, fallait il épouser une femme qui ne savait pas faire la cuisine ? Il préféra garder cette question sans réponse, s'il lui demandait non seulement il n'aurait pas de réponse mais il était à peu prés sur qu'elle l'étriperait sur le champ. Ahh les femmes ! Il la regarda, enfin sa poitrine généreusement mise en évidence par la robe mouillé puis il fit un pas vif et il plongea pour la saisir par les jambes pour la faire basculer sous l'eau.

Riant, continuant de lui faire signe de la main d’approcher, le provoquant il lui répondit

Moi ? peur ?? peur de quoi ? de quelques gouttes d'eau ? il fait bon et chaud ... peur de toi ?? pfff tu n'es qu'une femme !!

Sa mine se renfrogna, une femme, une femme.
Cela veut dire quoi, que parce qu’aujourd’hui, j’ai mit une robe, j’ai laissé mon épée, tu veux dire que je ne suis bonne qu’à faire la vaisselle.
Parfois je me demande ce qui te passe par la tête.

Malgré sa colère, elle se retrouva très vite complètement immergée dans l’eau .Il avait profité sachant que comme à chaque fois elle allait de suite prendre la mouche et ne plus être sur ses gardes, pour l’attraper par les jambes et la faire basculer dans l’eau .mais d’un geste vif elle le tira avec elle et les voila tout les deux au milieu du bassin .Sa rancœur partie elle ne songeait plus qu’à rire et s’amuser Elle l’attrapa et l’embrassa à l’étouffer

Wink

PS/quelle dommage que je puisse repondre à tes pensées

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Sous l'impulsion de Bulvaï les deux amants coulérent dans le bassin, elle en profita pour l'attirer à elle et l'embrasser à en perdre haleine. Il la serra contre lui puis se releva et se mit debout dans le bassin en la portant dans ses bras ! Il secoua la tête pour enlever l'eau de ses longs cheveux et pour se dégager le visage. Puis il la regarda en souriant !

oui tu as une robe aujourd'hui ! oui tu n'as pas ton épée, oui tu es une femme ! cela fait trois raisons pour faire la vaisselle ! on commence de suite : à l'eau !

joignant le geste à la parole il la jeta dans le bassin en riant !! SPLASHHHHH !!

Allez femme ! à la vaisselle !! mwahahaha !!!! et n'use pas de tes charmes pour éviter le travail mwahahahaha !!! Aprés ce sera la lessive mwahahaha !! V'la que les femmes voudraient porter les braies maintenant, où va t-on ?

Lorsqu’il la prit dans ses bras, elle ne savait pas ce qui l’attendait, il la secoua pour égoutter ses cheveux puis lui fit une belle tirade

Oui tu as une robe aujourd'hui ! oui tu n'as pas ton épée, oui tu es une femme ! cela fait trois raisons pour faire la vaisselle ! on commence de suite : à l'eau !

a peine eut il fini qu’il la jetait dans l’eau et nous content de ça, il lui ordonnait de faire la vaisselle, la lessive et parler de porter les braies .Elle se mit à rire cela lui ressemblait tellement peu de se comporté de cette façon qu’il valait mieux quelle prenne les choses d’un bon œil

Elle se releva le regarda et lui dit

Pas de soucis mon amour je vais commencer de suite

Elle s’approcha de lui, lui retira sa chemise, puis descendit ses braies

Veux tu bien levé les jambes afin que je récupère tes braies ,au faite je vais faire la lessive

Elle prit ses vêtement le laissant nu en plein milieux de la pièce d’eau et s’activa à frotter tous ce beau linge, tout en le regardant elle éclata de rire

Alors monsieur croyait que je ne savais pas laver le linge

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Bulvaï nageait dans doucement dans le bassin, il n'y avait pas assez de fond pour faire naviguer un bateau mais suffisamment pour nager sans raper. Parfois il passait à coté de Kali qui frottait les braies et la chemise de son homme.

Voilà !! c'est bien tu oublies la guerre et la politique et tu deviens une femme c'est bien ! Ari sera fier de toi et j'aurai de beaux habits.

Puis il voulu sortir, il regarda autour de lui et prit conscience de sa nudité, des fenêtres du chateau, des bruits environnants. Il regarda les feuilles de nénuphars, les seules feuille qu'il avait à portée de la main, mais elles étaient toutes trop petites (:D )...

Tout en continuant de frotter le linge de monsieur elle le regardait et l’entendit dire

Voilà !! c'est bien tu oublies la guerre et la politique et tu deviens une femme c'est bien ! Ari sera fier de toi et j'aurai de beaux habits.

Elle continua imperturbable sa lessive, continuant à l’observer, elle senti bien qu’il avait envi de sortir de l’eau et qu’il ne trouvait aucun moyen pour caché sa nudité.

Aussi s’approcha-t-elle de lui et lui colla sur les fesses sa chemise trempée. Elle en profita au passage pour lui toucher les fesses .Puis descendit à sa hauteur et l’embrassa, doucement lui susurra,amour je suis une femme et tu le sais ça,en profite pour lui caresser le bas du dos et remonter sur ses épaules.

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Bulvaï sourit lorsqu'elle lui toucha les fesses. Il prit la chemise et la jeta sur l'herbe, près de ses braies que sa compagne venait de laver. Il replongea dans l'eau puis glissa doucement vers le bord du bassin d'où il sortit entièrement nu et ruisselant, il secoua la tête pour enlever l'eau dans ses long cheveux et pour ne pas les avoir dans le visage. Il se tint devant elle, écarta les bras et tourna deux fois lentement sur lui même.

Amour regarde moi, c'est ainsi que je suis venu au monde et c'est de la même manière que je repartirai quand Aristote m'appellera. Tu me vois comme je suis, je ne suis qu'un homme, je n'ai rien à t'apporter, mes biens les plus précieux ne sont que mes qualités, et encore si j'en ai. Je ne posséde pas grand chose, mon épée, un champ, quelques sacs de maïs. Mes plus beaux bijoux sont mon honneur, ma sincèrité, ma bravoure. Je ne suis qu'un homme, je ne suis pas un dieu, je ne suis pas un seigneur, je ne suis qu'un simple homme mortel avec quelques qualités et beaucoup de défaut. Je suis grognon, grincheux, impulsif, acariâtre, surtout quand tu es trop collante. Il sourit et faillit pouffer de rire. J'essaie de faire le bien autour de moi, d'aider les autres, pourtant je ne sais pas si j'y arrive. J'essaie quoiqu'il advienne d'être fidéle à mes principes, fidèles à mes amis, fidéle à mon Roy. Je suis écuyer de la Licorne, le seul honneur qu'on m'a fait jusqu'à présent, de ce fait je suis souvent absent. Bref, regarde moi, je n'ai strictement rien à t'apporter, non rien, si ce n'est qu'un amour sincère. Kali, je n'ai même pas assez d'écus pour t'offrir une bague, pourtant je voudrais que tu portes mon nom, alors je te le demande : Kali veux tu m'épouser un jour ?

Il la regardait, il attendait sa réponse. L'eau ruisselait sur son corps musclé.

Elle le regardait faire ,prendre la chemise la jeter , plonger dans le basin, puis sortir nu et ruisselant d’eau, secouer ses cheveux, tourner autour d’elle.

Puis l’écoute, au fur et à mesure des ses paroles elle eut envie de rire de le voir nu se pavaner le sérieux lui revint quand il lui annonça ses richesses ses yeux se perlèrent, elle savait bien qu’il avait raison mais pour elle il était un dieu .Puis le sourire lui revint quand à ses défauts, la aussi il avait raison mais elle l’aimait comme il était avec ses défauts.

Kali restait stupéfait de sa tirade elle le regardait, il ne s’arrêtait plus son ton devenait de plus en plus sérieux et sa dernière phrase l’a laissa sans voix

. Kali, je n'ai même pas assez d'écus pour t'offrir une bague, pourtant je voudrais que tu portes mon nom, alors je te le demande : Kali veux tu m'épouser un jour ?

Elle était la plantée devant lui, sa robe mouillée moulant son corps, tenant ses mains, se les frottant, en pleurs devant une telle demande, tout allait si vite et si inattendu

Elle s’approcha de lui le regarda droit dans les yeux

Les écus, Les titres ne m’ont jamais intéressé, je t’aime pour tous ce que tu viens d’énumérer ta sincérité, ta bravoure oui tu as des défauts mais tu ne peux être parfait oui tu n’es pas un dieu mais bien un homme mortel et oui je veux t’épouser aussitôt que tu voudras.

Elle lui avait dit tous cela d’une traite, sans même prendre le temps de respirer, elle s’approcha encore de lui et se blotti contre son corps nu et humide, laissant ses larmes couler sur ses joues se melant au corps ruisselant d'eau de son amant

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Pour l'avoir déjà vécu, et pour l'avoir entendu dire par ses amis qui étaient eux aussi passés par là, Bulvaï se demanda une nouvelle fois pourquoi une femme qu'on demande en épousailles se met systèmatiquement à pleurer à chaudes larmes !! Elle pourrait montrer son contentement, son bonheur, sa joie d'une autre façon, lever un poing et crier comme lorsqu'on gagne une bataille, dire simplement "oui", il y avait bien d'autres manières de montrer sa joie que de pleurer, à moins que ce ne soit encore une ruse féminine pour marquer l'homme à vie ? Emu comme pouvait l'être un homme, il la prit dans ses bras et la serra contre son corps mouillé, puis il la prit dans ses bras. L'instant qui s'en suivit paru long aucun mot, aucun geste, chacun gouttant au bonheur du moment présent. Puis Bulvaï se baissa, une main sous ses genous, l'autre derrière son dos, il la porta, s'avança et la lâcha dans le bassin avant d'y plonger à son tour.

Lorsqu’il la prit dans ses bras et la serra .Elle était la contre son cœur et son corps mouillé ,pleurant comme toute femme fait dans une émotion de la sorte .Ce demandant si cela était la meilleur des choses que de montrer sa faiblesse .Mais oui avec lui elle le pouvait ,elle voulait tellement qu’il la protège et se sentir uniquement femme et non plus la guerrière .Ce moment de tendresse, de silence elle le savourait ils n’avaient plus besoin de se parler ,leur être battait à l’unisson .

Lorsqu’il la porta ses bras tous à son rêve, en peu de temps elle se retrouva dans l’eau et lui plongea aussitôt .Elle parti d’un éclat de rire

Et bien mon amour en premier tu me déclare ta flamme et en segond tu veux me noyer.

Elle se planta devant lui,
Lui toujours nu et elle sa robe trempée, moulant son corps.
Elle s’approcha si prés que son corps frôlait le sien.
Et la revoilà, redevenue joueuse, jouant quand même terriblement avec le feu, elle aimait à le provoquer.