repos aprés une douce nuit

Tout à son bonheur, elle redevenait comme une adolescente devant son premier amour.
Elle courait dans les couloirs s’arrêtant, riant, l’embrassant
Le domaine était grand et les couloirs aussi, plein de coin discret , propice aux jeux amoureux

Devant eux le grand escalier, ils montèrent en grandes enjambées, arrivé en haut, elle enfourcha la balustrade et se laissa glissée avec un fou rire
Remonta le remonta le rejoindre

Je ne sais pas ce qu’il m’arrive……… notre rencontre m’a donné des ailes

Elle le regarde, ce regard gris, bleu la trouble, caresse ses cheveux lui tend ses lèvres, souhaiterais que ce baiser ne s’arrête plus.
Puis reprit le chemin des chambres, passe devant la sienne, s’arrête quelques instant hésite, puis continue

Arrive devant une porte l’ouvre, plusieurs lits son la devant eux

Voila je te présente la chambre pour les visiteurs

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Entrainant Bulvaï dans le château sans prendre la peine de faire le moindre bruit, jouant telle une jeune fille avec la rampe du grand escalier, Kalimalice s'arrêta devant une porte. Bulvaï n'y prêta aucune attention préférant prendre la jeune femme par la taille alors qu'il se trouvait derrière elle et embrasser doucement son cou.

Puis elle reprit la main du jeu homme et repartit en courant et riant dans le couloir. Elle s'arrêta, ouvrit une porte et lui présenta la chambre des visiteurs. La pièce faites sous les toits était décorée avec goût, les poutres apparantes donnaient un style qui contrastait avec le style des pièces que Bulvaï avait déja aperçu, mais ce style simple, dépourvu d'ornements et de richesse correspondait bien avec la simplicité de l'homme.

Il regarda les lits, puis Kalimalice et lui chuchota comme s'il n'osait pas lui demander.

Je sais que tu as ta chambre dans ce château, mais je ne voudrais pas que tu me quittes ce matin aprés cette formidable nuit. se tournant et montrant de la mains le mobilier qui était dans la chambre. Regarde il y a deux lits, nous aurons chacun le nôtre.

Il lâcha Kalimalice s'approcha d'un lit et le poussa vers l'autre en prenant soins de lisser quelques pieds entre les deux lits.

Regarde, nous serons chacun dans un lit, mais nous pourrons nous endormir main dans la main.

Il la regarda dans les yeux, lui carressant le visage tout en attendant sa réponse.

Je sais que tu as ta chambre dans ce château, mais je ne voudrais pas que tu me quittes ce matin aprés cette formidable nuit.se tournant et montrant de la mains le mobilier qui était dans la chambre. Regarde il y a deux lits, nous aurons chacun le nôtre

Pendant qu'il rapprochait les lits kali faisait mine de réfléchir mais elle savait bien ce qu'elle voulait, elle ne souhaitait rien d’autre que de rester prêt de lui

Lorsqu’il prend son visage entre ses mains et la regarde, elle fond comme neige au soleil

Oui j’accepte de passé la nuit dans le lit prés de toi ma main dans la tienne.
Afin de sceller dans le sommeil notre attachement, Se réveiller côte à côte sera formidable pour moi.

Pour sceller son acceptation elle l’embrasse tendrement

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Bulvaï posa son mantel sur le fauteuil et se gratta la tête pensif :

Nom dé djou qu'a t-elle bien pu vouloir dire par "dans le lit prés de toi" ou encore "se réveiller côte à côte" ? du coup je ne sais plus ce que je dois faire de ces lits, les éloigner ou les rapprocher ? défaire les deux ou juste un seul ?

Bulvaï tourna en rond en regardant les deux lits, finalement il se décida et rapprocha le deux meubles afin qu'il soit côte à côte.

Kalimalice n'avait pas bougé, un sourire malicieux au coin des lévres, se moquait elle que Bulvaï fut indécis ou avait elle d'autes idées en tête ? Il s'approcha d'elle et la prit tendrement dans ses bras, il déposa un baiser sur ses lèvres, regarda la lueur de malice dans ses yeux, ne put s'empêcher de remettre ses mêches rebelles, il aimait ses cheveux soyeux qui tombaient sur ses épaules. Ses mains sur sa taille, il sentait son corps vibrer imperceptiblement.

ça devrait aller ainsi non ? peut-être désires tu que je les écarte un peu ?

Elle le regardait avec son rire moqueur

Tu veux rire écarter les lits surement pas, tu imagines si durant la nuit je cherche ta main et que je tombe entre les deux

Elle partie d’un éclat de rire et le poussa contre le lit, elle l’embrassa fougueusement. Bulvaï en tomba à la renverse, elle se retrouvait couchée sur lui

Elle prit sa tête dans ses mains et le regarda au fond des yeux, elle sentait son désir

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Devant la fougue de Kalimalice et de son baiser passionné, Bulvaï tomba à la renverse, emportée par l'élan la jeune femme s'allongea de tout son corps sur lui et lui tint sa tête, Bulvaï ne put la détourner pour lui montrer que ce n'était plus la nuit mais le début d'une nouvelle journée, qu'il avait passé toute cette nuit à se découvrir, à rire, à chahuter comme des jeunes adolescents qui découvrait la séduction puis l'amour.
Les deux jeunes gens n'en étaient pas vraiment loin, ils avaient oublier d'aimer, qu'on pouvait être aimés depuis des lunes, chacun essayait de refermer une blessure au coeur depuis longtemps sans jamais vraiment y arriver, et cette nuit là fut telle la tempête qui balaye les feuilles sur le chein, cette nuit là, l'amour qui naissait entre eux referma leurs cicatrices plus efficacement que le meilleur ongent.

Tête maintenue par les mains de kaimalice, Bulvaï se noya dans son regard, leurs regards parlaient pour eux. Bulvaï prit la jeune femme par la taille et l'attira plus contre lui et l'embrassa passionnément, tendrement. Sa main droite s'échappa furtivement et vit vers la nuque de Kalimalice, elle remit ses longs cheveux sur les épaules avant de s'aventurer sur les joues de kali, son menton, son cou et trouva la ficelle du col de la chemise qu'elle tira doucement afin de libérer le noeud qui maintenait le vétement fermé. La main de Bulvaï redescendit sur la hanche pour se mettre à même niveau que l'autre main et ensemble tirérent les pans de la chemises ranger dans les braies de la jeune femme.

Bulvaï put passer ses mains à même sur la peau du dos de la jeune femme, sentir ce doux parfum satiné et la sentir vibrer sous ses caresses pendant que leurs lèvres restaient collées l'une à l'autre.

Les mains de Bulvaï parcouraient son dos, ses mains si douces pour un homme fort comme lui la faisaient frémir.
Son coeur battait de plus en plus fort ,le desir montait en eux

Kali toujours allongé sur lui sentait sa poitrine se gonfler , elle voulait sentir la chaleur de son torse et se mit à défaire les boutons de sa chemise, du coup ses seins se retrouvèrent sur sa peau nu, elle prenait plaisir à caresser ses cheveux, elle jouait avec ses lèvres avant que sa bouche ne soit engloutie par la sienne

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Ce baiser éveilla le fauve qui sommellait en Bulvaï, ses mains se firent plus rapides tout en restant douces. Il s'enfonça doucement dans le matelas de manière a pouvoir faire glisser la chemise de sa bien aimée, il la releva, la remonta pour passer la tête par le col et jetta la chemise au sol, puis il enleva la sienne rapidement afin de rerendre Kalimalice dans ses bras. Il la serra contre lui pour sentir la chaleur de son corps, la douceur et la fermeté de ses seins qui frottaient sur sa poitrine, ses cheveux tombant sur ses épaules.

Tout en l'embrassant ses mains se promenèrent sur son dos, sa nuque, et descendirent sur ses fesses bien rondes et bien fermes. Leurs respirations s'accélérérent, il l'embrassa passionnément en lui maintenant la nuque avant de lui mumurer à l'oreille

Je t'aime ! ... je t'aime .. !

Ses mains caressaient son dos, sa poitrine sur la sienne, sa chaleur, sa bouche emprisonnant la sienne.

Elle savourait ce moment puis ce dégageant de son étreinte, Prenant sa tête dans ses mains, elle le regarde au fond des yeux

Moi aussi je t’aime. Je sens le désir monté en moi, Je me sens prête pour partager ma vie et te donner mon corps .Je veux juste ne pas précipiter les choses, prendre le temps de savourer avec toi ce moment magique .Notre rencontre est un don d’Aristote, il nous a mit sur le même chemin afin que maintenant nous le partagions ensemble.

Ces paroles lui avait donné le temps de reprendre, sa respiration, mais son cœur battait toujours aussi fort, elle ne pouvait détacher son regard des ses yeux qui la mettaient à nue corps et âme

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Les deux amoureux se regardérent dans les yeux durant un moment, ils perdirent toute notion du temps. Ils se caressaient leurs visages, passérent leurs mains dans leurs cheveux, s'embrassérent puis se serrerent mutuellement dans les bras l'un de l'autre et restérent ainsi durant un long moment sans bouger, en osmose totale.

Puis la tendresse vint les entourer, les submerger, et l'amour fusionnel, celui qui réunit deux êtres qui s'aiment profondément, ce véritable amour envahit leurs coeurs et leurs âmes. Emu, Bulvaï serra Kalimalice dans ses bras, elle en fit de même, ils restèrent un moment sans bouger puis il se regardérent

Je pense que nous devrions nous endormir mon amour ... lui dit Bulvaï doucement.

Il se leva ramassa la chemise de la jeune femme et l'aida à l'enfiler. Elle s'allongea sur le lit, tandis que Bulvaï étendit sur elle une couvrture avant de s'allonger sur le second lit. Il lui prit la main, et la regarda, ils échangèrent un sourire.

Je t'aime Kali ...

Elle lui répondit par un nouveau sourire et serra sa main dans la sienne. Elle ferma les yeux et Bulvaï crut voir sur son visage les formes du visage d'un ange. Souhaitant garder cette image,il ferma les yeux à son tour.

Dehors un couple de tourterelles se posa sur le rebord de la fenêtre.

edit : ortho

Elle apprécia sa façon de faire, ne pas brusquer les choses, voila que Bulvaï avait toute les qualités même celle de gentilhomme.

Une fois qu’il l’eut couverte, Sa main dans la sienne, elle ferma les yeux, pour ne plus voir que son visage. Ce moment de tendresse ne pouvait que renforcer cet amour qu’elle ressentait pour lui, un amour tendre, respectueux, fusionnel.

Elle n’avait encore jamais vécu cela, elle ne bougeait pas, ne parlait pas.

Ce silence réunissait deux être qui s’aimaient

Le visage disparut et elle s’endormit

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Lorsque Bulvaï se réveilla, le soleil était haut dans le ciel et la chambre était baignée de lumière. Il tenait toujours la main de Kalimalice dans la sienne. Il regarda la jeune femme endormie, une expression de sérénité et de bien être se lisait sur son visage. Il lâcha doucement sa main et se leva. Il regarda par la fenêtre, la vue sur les jardins était magnifique, ce domaine était vraiment un havre de paix. Bulvaï sourit en repensant à cette nuit passée avec Kalimalice espérant ne pas avoir réveillé trop de monde.

Il voulut se recoucher s'approcha du lit qu'il occupait, puis regarda la jeune femme endormie dans le sien, les deux lits toujours espacé d'un pas. Il se ravisa et alla s'étendre doucement sur celui occupé par la jeune femme. Dans son sommeil, Kalimalice se retourna et vint se blottir contre son bien aimé, posant sa tête sur son épaule et sa main sur sa poitrine.

Bulvaï déposa un baiser sur ses cheveux puis, attendant le réveil de sa promise, il imagina tout ce qu'ils pourraient faire ensemble, ils ne pourraient pas rattraper le temps perdu, mais ils pourraient profiter désormais de la vie qui s'offrait à eux.

Encore endormie, elle se retourna et se blottie dans ses bras, tout contre lui

Les premières lueurs sur son visage l’a réveille, lorsqu’ elle ouvre les yeux, sa première vision fut son minois .il l’a regardé avec un regard protecteur et amoureux

Elle déposa un baiser délicat sur ses lèvres

Bonjour bonheur, j’ai faim si nous allions nous restaurer ?

Elle saute du lit , range sa chemise , passe une main dans ses cheveux, se retourne l’embrasse encore une fois, le prend par la main direction Dame Bertille
Déjà le rire de kali résonne dans la maison

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Déjà faim Amour ? bonne maladie, et Dame Bertille a une bien belle cuisine et bien garnie !

Kalimalice sauta du lit , rangea sa chemise , passa une main dans ses cheveux, se retourna l’embrassa encore une fois, le prit par la main, direction Dame Bertille

Déjà le rire de Kali résonnait dans la maison.

Il courrèrent dans les couloirs et descendirent le grand escalier assis sur la balustrade en riant tels des adolescents.

Arrivés devant la porte de la cuisine, Bulvaï l'embrassa avant qu'elle ne l'ouvre.

J'ai faim aussi ... j'ai faim de toi !

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