Jeunes gens affamés

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Portant Kalimalice dans ses bras, Bulvaï poussa du pied la porte du château et entra dans la demeure et s'arrêta en regardant un peu partout quel chemin il devait prendre.

A droite ! lui dit elle ! au fond du couloir c'est la porte à droite !

Sans fléchir les bras, Bulvaï prit la direction indiquée et avança dans le long couloir. Parfois il faisait exprés de passer à raz des tentures pour effleurer la tête de la jeune femme qui riait de bon coeur, parfois il feignait de la laisser choir pour qu'elle se raccroche fermement avec ses bras autour de son cou. Leurs rires résonnaient dans le couloir, seuls au monde ils oubliaient qu'ils venaient de passer une nuit à discuter, à se promener ensemble alors que les convives invités au mariage de Manoncoeur et de Gillas dormaient paisiblement.
Arrivés devant la porte de la cuisine, il l'ouvrit d'un geste du pied et avant de rentrer dans la pièce, il la regarda.

Je crois que j'ai remplis mon gage. Il déposa un baiser sur ses lèvres et lui chuchota au creux de l'oreille pour être sûr que même les murs ne l'entendraient pas. Peut-être qu'un jour je t'emménerai de la sorte dans une autre pièce ...

Il avança sur le coté de façon à ne pas heurter les pieds et la tête de Kalimalice dans l'huiserie de la porte et pénétra dans la cuisine.
La pièce était grande, marmites, couteaux, victuailles présentes ne laissaient aucun doute sur l'usage de la pièce. Il s'approcha d'une partie de la table laissée libre et allongea la jeune femme sur la table. Il se recula et la regarda d'un air interrogateur.

Bon, qu'est ce qu'il y a de bon à manger là dessus ? se demanda t-il à haute voix avant de lui faire un grand sourire.

Nombre de messages : 80 Date d'inscription : 27/08/2006

Bertille tournait dans sa cuisine comme un génie dans sa lampe.
Tellement de choses et si peu de place. Ils avaient préparés tant à
manger pour la veille, et il restait tant dans les plats qu'elle ne
savait qu'un faire. Elle avait bien préparé quelques plateaux qui
attendaient les leves tots, et ceux ci attendaient sur la table de la
cuisine. Quelques uns ne tarderaient pas à arriver, le soleil était
levé depuis longtemps. Sire Gillas était pourtant habitué à se lever
plus tot, mais ce matin, il allait peut être rester plus tard dans sa
chambre, c'était tout de même sa première nuit avec Manon.
Elle se chargea les bras de plats, et prit la direction de l'arrière cuisine. Elle allait en apporter le plus possible derrière, pour éviter de bloquer la cuisine. Elle s'occuperai d'emballer le tout et de le faire parvenir à l'église pour partie, les nécessiteux devaient avoir faim, et ce serait dommage de tout jeter. Elle passa l'arche et s'affaira silencieusement dans la pièce.
Elle entendit du bruit dans la pièce à coté, une voix d'homme qu'elle ne conniassait pas. Qui osait pénétrer dans sa cuisine sans qu'elle soit au courant. Le maitre ne l'avait pas avertie d'une visite de ce type. Elle se retourna et se posta dans l'arche, examinant sa cuisine pour savoir qu'elle pouvait être la source de ce raffut.
Ce qu'elle vit lui fit monter le rouge au jour. Dame Kalimalice allongée sur la table avec un homme devant elle qui semblait perplexe de la conduite à tenir. Son sang ne fit qu'un tour.

Tudiou, mais qué'qu c'est ty que j'vois. Nom d'une casserole tordue, ma cuisine, c'est t'y pas une chamb. Vous z'allez fair' vos cochonneries ailleurs, y'a des genses qui oeuvrent ici, et pas de ce travail là, si vous voyez ce que j'veux dire. Allez, ouste... Pour ça, z'avez qu'à aller aux bains, ou dans la chamb' de la Dame...

Au passage, elle attrapa un poelon et s'avanca vers l'homme, un rictus mauvais agitant sa lèvre.

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

A l'arrivée de la cuisinière, Kalimalice se redressa et se mit rapidement debout. Tandis que la femme s'approcha menaçante un poelon à la main, Bulvaï essaya d'expliquer une situation qui à première vue paraissait inexplicable.

Euh .. je vous demande pardon Madame ... ne vous méprenez pas ... ce n'est pas ce que vous croyez ! Pensez bien dans une cuisine ... pas plus que dans la chambre de la Dame par ailleurs ... et aprés une nuit blanche ... Si vous me laissez le temps de vous expliquer avant de me frapper : Nous sommes désolés d'avoir fait irruption de la sorte dans vostre domaine, je le croyais déserté à cette heure et Dame Kalimalice a faim, mais peut-être n'est ce pas le moment ? Faut il repasser plus tard, ce n'est pas un soucis.

Bulvaï recula d'un pas alors que la cuisinière arrivait menaçante vers lui espèrant que sa plaidoirie adoucirait la mégére.

Nombre de messages : 80 Date d'inscription : 27/08/2006

Bertilel se calma intérieurement. Dame Kalimalice avait eu quelques écarts par le passé, mais maintenant, elle pouvait refaire sa vie, Mère Friga avait acté les choses. Et puis, ce n'était aps son style de s'étaler en public. S'étaler, c'était le cas de le dire. Elle réprima un gloussement, mais conserva son aspect colérique en extérieur.
Elle arrêta sa progression quand le nobliaud prit la parole, et elle ressentit comme de la peur dans sa voix. Elle ne savait pas qui il était, mais il pouvait porter le titre de nobliaud, lui qui avait peur d'une simple cuisinière. Bon, il s'excusait, c'était déjà pas mal. Elle fit un pas en arrière, et reposa son poelon.

Bon, ca passe pour c'te fois, pisque vous z'etes avec Dame Kalimalice. Mais que je ne vous y reprenne pas.

Elle pointa le doigt vers la table qui était chargée de mets de la veille au soir.

Vous z'avez d'quoi manger sur la table. Viande, patés, saucisses, fromage. Je vous sors une miche de pain. J'ai des patates que j'peux vous faire réchauffer, avec quelques tranches de lard. Z'etes pas bien épais, faudrait manger un peu plus, gamin. J'vous sors du vin ou du cidre. A moins qu'un verre de lait vous suffise ?

Au fur et à mesure de ses paroles, le sourire revenait sur son visage, mais on pouvait se demander si c'était un sourire franc ou carnassier.

Conseil Nombre de messages : 531 Date d'inscription : 30/08/2006

Un bruit caractéristique commenca à résonner dans le couloir. Du bois sur de la pierre. Une discussion commencait à poindre, mais les paroles étaient pour le moment inintelligibles. Les bruits se rapprochèrent, et la discussion cessa. Bertille sembla se détendre et améliorer son sourire, plus avenant.
Manon passa la porte, suivie de près de Gillas. Les deux mariés furent surpris de retrouver Kalimalice et Bulvaï dans la cuisine. Ils saluèrent leurs amis, et Gillas ne put empecher une pointe d'humour.

Eh bien, Bulvaï, tu n'as pas retrouvé la route de Gien depuis hier soir ? Ou tu as préféré profiter de la beauté de cette propriété une journée de plus ? Je suis heureux de te retrouver ce matin.

Il serra Bulvai dans une accolade toute masculine, et déposa un baiser sur la joue de Kali. Puis, il se tourna vers Bertille, s'approcha d'elle et déposa un baiser sur sa joue.

Merci, Bertille, merci pour le somptueux banquet que tu nous a mitonné hier. Je suis désolé que tout en soit pas parti, mais il semblerait que nous ayons invité une volée de moineaux. Il doit bien t'en rester encore un peu, mon ventre se rebelle, et je vais finir par faire un malheur.

Il se reoutna vers la table et s'assit, non sans avoir laissé Manon s'assoir à coté de lui. Il invita ses amis à s'assoir en face de lui, et commenca à distribuer les verres et verser le vin.

Il la dépose sur la table comme un plat que l’on va servir, tout le parcours ne fut que rire et amusement tels deux enfants, bien que d’être dans ses bras lui donner des émotions d’adulte

Il lui susurre à l’oreille..Peut-être qu'un jour je t'emmènerai de la sorte dans une autre pièce ...elle lui répond sur le même mode...patiente mon cœur, patience le domaine est grand

L’arrivée de Bertille la fit descendre rapidement , un peu rouge tout d’abord et puis rétorque à Dame Bertille

Bertille voyons, on dirait que tu ne me connais pas encore, n’ai aucune inquiétude pour les cochonneries comme tu dis j’ai ma chambre au domaine

Kali regarde Bulvaï tout penaud devant Bertille qui se veut plus méchante qu’elle n’est.

Bertille avec son poêlon à la main la situation est comique et kali se met à rire

Allons Bertille laisse le jeune homme tranquille, je crois que tu n’as pas finie de le voir .Il faudra que tu t’habitue

Bertille comme à son accoutumé céda au dire de kali et leur proposa le repas

A peine attablé, Gillas et Manon entre tous deux tous guilleret de leur nuit, kali fait un clin d’œil à Bulvaï

Kali embrassa les nouveaux époux et se mit à dévorer le repas restant, la nuit l’avait affamé, assise tout contre lui, de temps en temps, leur yeux se croisait et leur mains se rencontraient, kali se sentait enfin bien et sereine

Elle prit le verre de vin servir par son ami et leva son verre

A nos amours à tous les quatre

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Bulvaï fut un moment dérouté ; Kalimalice qui se relevait de la table, la cuisinière poelon prête à vouloir vérifier la solidité de sa tête, Gillas entrant dans la cuisine avec Manoncoeur sa ravissante épouse, puis son ami lui donnant l'accolade ... Décidément les gens se levaient de bonne heure dans ce domaine au lendemain de festivités.

Gillas était heureux de voir Bulvaï encore présent, lui même avait prévu de repartir aprés les festivités mais le destin en a voulu autrement et Bulvaï étranger en ces lieux encore hier se sentait plutôt à l'aise, enfin, il n'était pas dans ses petites chausses avec la cuisinière qui le regardait parfois dubitativement.

Kalimalice parla avec Bertille, tandis que Gillas prit des verres les remplit et invita ses amis à s'asseoir. Kalimalice prit le verre de vin servit par son ami et le leva

A nos amours à tous les quatre

Assit à coté de Kalimalice, Bulvaï leva son verre en regardant Gillas et Manon

Au vôtre surtout, c'est vous les héros de cette fête !!

Il se tourna vers Kalimalice. Etait ce la présence d'autres personnes qui l'intimida ? Il regarda Kalimalice dans les yeux en posant sa main sur la sienne qui était placée sur le banc à l'abri des regards.

Buvons aussi à ta santé, buvons à ton bonheur.

Puis il lui fit un clin d'oeil

Sa main se posait sur la sienne, son regard dans le sien, que ce regard la troublait
Ce clin d'œil complice en même temps qu'il buvait à son bonheur

Elle se pencha tout contre lui et répondit

Je bois au tiens aussi

Gillas mon ami, je suis heureuse que tu es invité Bulvaï à ton mariage, nous n’avions pas prit jusqu’à maintenant le temps de nous connaître et finalement cette nuit on s’aperçoit que pleins de choses nous rapproche.
Je ne sais si il te l’a dit mais il s’est décidé cette fois il va s’installer à Montargis, comme cela nous rapprochera encore plus

Tous en parlant avec Gillas elle ne lâcha pas sa main la serrant même suivant ce qu’elle disait.
Puis prit saucisses et pâté et commença à manger, elle avait faim et bonne appétit chose perdu depuis longtemps et un appétit encore plus grand de la vie.
Toute en mangeant ayant récupérer sa main cela était plus facile, de tant à autre elle le regardait .Tous lui plaisait son visage, ses cheveux foncés mi long et ses yeux se regard gris, bleu elle ne savait encore définir la couleur.
Un sourire sur les lèvres elle partageait un moment heureux entre son ami le plus cher et surement un homme important pour sa vie futur.

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Tout en écoutant Kalimalice parler avec Gillas, Bulvaï sortit son couteau et prit un tranchoir. Il prit ensuite une fouasse et découpa quelques tranches avant de se servir une bonne tranche de terine de lièvre et un reste de gigot de mouton. Puis il prit le cruchon de vin et remplit les verres.

Tout en mangeant, il regardait Kalimalice mais n'arrivait pas à décrocher le regard de ses beaux yeux marrons dans lesquelles il cherchait toute trace de joie et de bonheur.

Assis à coté d'elle, il rapprocha sa jambe afin qu'elle frole celle de la jeune femme, botte contre botte, être assis à coté d'elle, la regarder manger de bon coeur les mets présents sr la table était un moment de toute simplicité mais un moment de bonheur.

Lorsqu'il eut fini de se restaurer, il essuya son couteau avant de le remettre à l'étui, finit son verre de vin puis nonchalement il s'appuya d'un bras sur le rebord de la table et regarda la jeune femme qui finissait de manger un morceau de viande. Parfois elle faisait un mouvement de la tête pour repousser en arrière ses longs cheveux foncés afin de pouvoir regarder le jeune homme et croiser son regard.

Il prit un panier de fruits secs qui se trouvait au milieu de la table

Veux tu quelques fruits Kali ?

Conseil Nombre de messages : 531 Date d'inscription : 30/08/2006

Gillas accueillit avec plaisir la pensée de ses deux amis. Il trinqua, non sans observer d'un oeil amusé ses deux amis. Il servit Manon en victuailles, coupa le pain pour Manon et lui, tout en échangeant joyeusement. De temps en temps, il déposait un baiser sur els lèvres de Manon, heureux de pouvoir le faire en public, sans la présence de bougies. Cette pensée le fit sourire encore plus.
Du coin de l'oeil, il vit les oeillades de ses deux amis, leur sourire retrouvé malgré un passé torturé. il semblait que la nuit ait apporté le bonheur à plus d'un couple cette nuit. Il ne poussa pas le vice jusqu'à laisser tomber son coureau à terre, pour voir ce qu'il se passait sous la table, cela n'était pas convenable. Mais voir ses deux amis ainsi lui réchauffait le coeur.

Leurs bottes se touchaient, mais aussi leur cuisses et kali sentait sa chaleur.

Elle continuait de manger
Choisit un fruit parmi ceux que lui tendait Bulvaï

Elle mangeait goulument sa pomme, tout en le regardant et regardant Gillas avec un petit sourire complice, son ami avait deviné, il l’a connaissait trop bien
Kali tout à ce moment de bonheur, en oublié la fatigue, mais quand même un peu de repos serait bien venues

Bulvaï souhaiterais tu dormir un peu, au domaine nous avons une chambre pour les invités je veux bien t’y conduire petit sourire malicieux ,yeux clos puis regarde Gillas et rougit

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Sortant de ses pensées Bulvai réalisa que Gillas et Manon étaient là, devant eux, qu'ils mangeaient en les regardant, qu'ils souriaient, qu'ils se régalaient de ces deux jeunes gens ayant passé la nuit à s'amuser et qui se cherchaient mutuellement ...

Le panier de fruits à la main tendue vers Kalimalice Bulvaï se tourna vers les jeunes mariés

euh ... Voulez vous un fruit ?? une pomme peut-être ?

Bulvaï regarda Kalimalice croquer dans la sienne à pleines dents. Il n'était pas plus fatigué qu'il ne paraissait mais la jeune femme avait raison, un peu de repos serait toutefois bienvenu.

Ah ! si vous avez une chambre pour les amis de passage, ça m'évitera le tas de foin !!

Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 27/04/2007

Manon avait salué les deux jeunes gens arrivés avant eux, fait une bise a Bertille, puis s était assise avec tous. Les baisers de Gillas la ravissait, et sourit doucement en voyant le jeu de séduction des deux amis. Apres avoir mangé ce qu’il fallait pour tenir au midi et trinqué a l Amour, Manon écouta les trois amis parler entre eux… un peut lasse de sa nuit, il fallait l avouer, mais si enchantée, elle se leva en embrassant le cou de Gillas et posa une main sur son épaule.

Mon amour, kali, bulvai, je vais remonter j ai besoin de me reposer je vous dis a tout a l heure au déjeuner je pense.

Elle se pencha vers l oreille de Gillas, tout en lui embrassant lui murmura :

Restez avec vos mais si vous voulez, je vais m allonger amour.

Manon pris congés en les saluant de la main, et n oubliant pas d embrasser encore et encore Gillas.

Tous en mordant sa pomme, l’homme accepte de passé la nuit au domaine ..............

Manon se lève saluant tous le monde pour aller se reposer

Tu as raison, Manon va te reposer, je suppose que Gillas ne t'as pas trop laissé dormir......... lui fait un clin d'œil suivit d'un sourire malicieux

A son tour kali se lève, attrape la main de Bulvaï, lui sourit, lui dit.....

Viens, allez dépêche toi je t’accompagne

Se tourne vers Gillas, tout en passant la porte de la cuisine

Désolé, on te laisse, nous aussi on est fatigué .
Bertille on repassera dés que la faim nous tiraillera

Elle se mit à rire aussitôt la porte passé, elle le poussa contre le mur et l’embrassa tendrement
Tous en le tirant se mit à courir en riant direction la chambre des visiteurs

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Kalimalice entraina Bulvaï dans le couloir et il eu juste le temps de parler à Gillas

Si j'étais toi Gillas je retournerais me coucheeeeeeeeeeeeeeeeeeeerrrrrrrrr !!

Clac !!! La porte claqua derrière lui et Kalimalice le plaqua contre le mur du couloir avant de faire de même avec ses lèvres sur celle de Bulvaï. Il serra la jeune femme dans ses bras et lui rendit la tendresse de son baiser.

Puis Kalimalice l'entraina à nouveau dans les couloirs , chahutant, riant sans se soucier qu'ils s'endormiraient aprés avoir réveillé tout le monde.

Kali et Bulvaï passe la porte en trombe en train de rire et de se chipoter comme des enfants.

Leur nuit ne fut pas celle de deux amants, mais celle de deux être qui en osmose parfaite apprenaient à se connaître pour mieux savourer les plaisir de la chaire

Kali prit place et lui fit signe de s’asseoir tout contre elle, elle posa une main sur sa jambe et un baiser sur ses lèvres

Bertille avait mit à disposition tous ce qu’il fallait pour un bon déjeuner

Tout en mangeant d’un bon appétit, elle lui dit

Je ne sais pas ce qui me prend mais je suis affamée, affamée de toi, surement que pendant longtemps, aimer m’a manqué

Elle se mit à rire d’un rire malicieux, s’approcha de lui comme si elle ne voulait ne faire qu’un

Lui déposa un baiser

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

Bulvaï s'assit à coté de Kalimlice, la prit par l'épaule et lui dit

Crois tu que le manque d'amour provoque un manque d'appétit ? Certainement car je te croquerais !!! Il fit mine de vouloir lui croquer le nez, claqua des dents puis lui sourit. C'est pas l'tout, tu as faim !!

Il tendit à Kalimalice le painer de fruits, la jeune femme prit une pomme et croqua à pleines dents. Bulvaï sortit son couteau et coupa quelques tranches de pain. Il prit le pot dans lequel Bertille avait fait cuire de la terrine, coupa un petit bout et porta le couteau à sa bouche.

Lièvre ... humm ... délicieux, en veux tu Amour ?

Kali finissait sa pomme, la bouche pleine, elle hocha de la tête pour lui faire comprendre qu'elle en voulait bien. Bulvaï coupa une tranche dans le pot qu'il posa délicatement sur du pain qu'il posa devant Kalimalice. Il tendit le bras et prit deux verres qu'il remplit avec l'aiguière qui était posée sur la table puis planta son couteau dans le plat de viande et prit un morceau.

Bertille nous a gâté Amour, ce faisan est bien juteux.

Alors que Kalimalice finissait sa tartine, Bulvaï tendit le bras et lui présenta le plat de viande.

Sers toi, il est fameux !!!

Les deux jeunes gens mangèrent de bon coeur, plus que pour deux personnes, tout en se regardant et en chahutant gentiment. Ayant terminé, Bulvaï essuya son couteau puis le remit dans son étui avant de remplir à nouveau les verres.

As tu quelque chose de particulier à faire aujourd'hui, je serai ravi de partager ton quotidien.

Il prit sa main et l'embrassa longuement tout en la regardant dans les yeux, ces grands yeux marrons, ce regard qui le faisait fondre à chaque fois qu'il plongeait dedans.

As-tu quelque chose de particulier à faire aujourd'hui, je serai ravi de partager ton quotidien.

Il prit sa main et l'embrassa longuement tout en la regardant dans les yeux, ces grands yeux marrons, ce regard qui le faisait fondre à chaque fois qu'il plongeait dedans.

Je voudrais te montrer la collection d’armes de Johan, la salle d’entrainement, d’ailleurs il ya longtemps que je ne me suis pas venue faire quelle pas avec mon épée

Cela te plairait il de visiter la salle d’arme ? dit amour n’ai pas peur je ne te mettrais pas en joue

Kali partie d’un éclat de rire n’attendant plus que sa réponse

Nombre de messages : 124 Date d'inscription : 12/01/2008

...

Bulvaï fit une grimace moqueuse

Me mettre en joue ??? Il me tarde de te voir à l'oeuvre avec ton cure-dent. J'ai bien une épée, ce n'est pas une arme de première facture mais elle est robuste. Elle est restée avec la selle de mon cheval. S'il y en a dans la salle d'armes, il me plairait de te défier, toi lieutenant de l'Ost moi un homme simple. Il se moqua gentiment on verra ça tu n'es qu'une femme

Il se leva, l'invita à se lever et la prit dans ses bras et lui murmura

si tu ne veux pas que je te blesse, on peut prendre des armes en bois, mais je doute que tu apprécies

Il l'embrassa fougeusement

Viens mon amour allons nous mesurer ensemble !!

Il ouvrit la porte et l'invita à sortir. Main dans la main, souriant, plaisantant, ils se dirigèrent vers la salle d'armes