[rp] la nuit de noce

Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 27/04/2007

Manon et gillas se retrouverent devant la porte de la chambre. Manon stoppa et se tourna vers son homme en le regardant avec amour, puis l embrasse .
Leur deux corps se calle contre la porte pour se baiser fougeux et plein d envie. Ils etaient enfin mari et femme et plus besoin de se cacher.

Conseil Nombre de messages : 531 Date d'inscription : 30/08/2006

Le grand soir était enfin arrivé, où ils pouvaient se donner l'un à l'autre sans crainte de représailles du Très Haut. Il était remblant. Sa première nuit, sa première nuit avec le femme qu'il avait épousé, la femme qu'il retrouverait dans sa couce chaque soir... ou chaque matin en fonction de ses gardes. Il en révait depuis des jours, il regardait Manon avec un feu brulant dans la coeur et dans le corps.
Manon l'attira à elle en un baiser fougueux. la porte craqua à la pressiond e leurs deux corps enlacés. Il l'attrapa dans ses bras et la souleva comme une plume. Travailler le fer toute la journée avait ses avantages, et sa force physique en était un.
Il poussa la porte et rentra dans la chamre en la portant, continuant à déposer un long baiser sur ses douce lèvres.

Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 27/04/2007

Manon etait heureuse, enfin le grand soir, il pourraient crier leur amour, enfin pas trop fort non plus... Elle ne lachait pas les levres de gillas, jusqu a ce qu il la depose sur le lit. le coeur de manon s emballa.

Conseil Nombre de messages : 531 Date d'inscription : 30/08/2006

Gillas déposa Manon sur le bord de son lit, lachant à ce moment uniquement ses lèvres douces et si agréables. Il caressa son visage doucement. Il la regardait, les yeux plein d'amour, ne sachant pas quoi dire et en voulant pas aller trop vite. Il se retrouvait désemparé par la situation. Le domaine nouveau de la vie de couple, où tout est plus compliqué car il faut penser à deux pour deux, et non plus à soi pour soi...
Il déposa un nouveau baisr, plus léger, sur ses lèvres, et mis genou à terre devant Manon.

Ma mie, laissez moi vous redire le fond de mon coeur.

Il lui attrapa doucement la main.

Vous, mon souffle de vie, je ne sais comment ma vie a eu un sens par le passé. Je ne sais si mon ame a toujours attendu votre arrivée, mais les portes se sont ouvertes devant vous comme elles ne se sont jamais ouvertes pour quiconque. Peut être êtes vous un ange ? Peut être avez vous pour allié Cupidon ?
Pour cela, je n'aurais jamais de réponse, mis à part ce que mon coeur sussure à mon oreille. Et les bruits qui me parviennent ne font que grandir l'amour que j'ai pour vous.
Ma mie, merci. Merci à vous d'avoir tourné vos pas vers moi. Merci d'avoir fait renaitre l'amour dans ce coeur écorché par son histoire.

Il se redressa un peu et déposa un baiser sur ses lèvres, posant sa main sur sa joue.

Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 27/04/2007

Elle ferma les yeux quand la main de Gillas se posa sur sa joue.
Puis Manon le regarda tout sourire, ce qu il venait de dire cloturait ce jour merveilleux, elle l aimait de toute son âme. Elle lui serra ses mains .

Mon amour, je suis née pour vous aimer, je suis née pour etre a vos cotés. Je l ai su des que je vous ai vu dans se lit, je savais que notre destinée etait liée. Vu tout ce que l on a traversé en peut de temps, il n y a pas d autres expliquation que nous sommes l un et l autre lié depuis la naissance.
je vous aime Gillas .

Elle se pencha pour l embrasser tendrement, les bretelles de sa robes glisserent toutes seules de ses epaules, ce qui denuda legerement la naissance de sa poitrine.

Conseil Nombre de messages : 531 Date d'inscription : 30/08/2006

Gillas fit glisser doucement ses baisers vers le cou de Manon, puis vers ses épaules. la blancheur de sa peau et sa douceur attiraient ses lèvres. Ses baisers étaient fiévreux, bien que tout en douceur. Manon pouvait sentir la force contenue dans chacun de ses gestes.
Ses baisers remontèrent vers ses bras, puis revinrent vers le haut de sa poitrine. Sa respiration était rapide, la passion l'étreignait.

Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 27/04/2007

Manon par des gestes tendres, libera Gillas de son veston et sa chemise, pour gouter sa peau salé, dont elle etait gourmande. Ses levres allaient se delecter. Elle gemit doucement au supplice des levres de Gillas, sentant son corp fremir.

mon amour....et les mots s evanouirent dans un soupire

Conseil Nombre de messages : 531 Date d'inscription : 30/08/2006

Son veston et sa chemise tombèrent au sol, lui retirant comme une chape de blocages. Il se sentait libre, libre d'aimer, libre de donner du plaisir, libre de combler les désirs de la femme avec qui il allait vivre.
Il fit glisser tout doucement les bretelles un peu plus bas, sans pour autant abimer sa belle robe. La pointe de ses seins apparaissait aux balconnets de sa robe, le coeur de Gillas fit un bon. Ils ne les voyait pas pour la première fois, Aristote lui pardonne, mais ce soir, c'était différent.
Ses baisers descendirent dans le val de sa poitrine, tandis que ses doigts glissaient dans son dos pour défaire les lacets de sa robe.

Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 27/04/2007

Manon tremblat sous les levres de Gillas, c etait comme si gillas la decouvrait pour la premiere fois... Elle alla savourer le torse de Gillas et remonter dans le cou, pour le laisser par la suite decouvrir ses rondeurs, elle allait lui laisser son corp en pature à sa bouche. Manon se laissa tomber sur le lit en l emportant avec elle.

Conseil Nombre de messages : 531 Date d'inscription : 30/08/2006

Gillas roula avec elle sur le lit. La robe de Manon commenca à se dégager, libérant son corps si attirant. Elle se tortilla, remuant sa poitrine sous son nez, pour finir de sortir de son carcan blanc. La robe glissa à bas du lit. Il attrapa Manon, et la fit glisser sur lui, l'admirant tout son saoul. Il se redressa pour embrasser sa poitrine avec passion. Ses mains glissèrent sur ses fesses, passant doucement sous la culotte qu'elle portait.

Aristote ! Ce n'était pas possible d'être aussi désirable.

Sa langue fit glisser les bretelles de la bande de tissu qui lui gonflait la poitrine de manière indécente. Il embrassa goulument les tétons tendus de sa mie, faisant glisser sa langue pour les faire se dresser d'excitation.

Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 27/04/2007

Manon gémissait de plaisir, elle perdait pied, il la rendait folle de désir. Sa poitrine gonfla d excitation. Manon fit glisser une main dans le dos de Gillas et du bout des doigts le caressa, pour lui enfoncer les ongles légèrement quand il jouait avec les tentons tendus. Son autre bras alla au déçu de sa tête et agrippa un oreiller. Elle lui appartenait corps et âme, mais surtout corps a ce moment précis. Son corps commençait à frémir.

Manon écarta une cuisse pour inviter la jambe de Gillas a se caller entre.

Conseil Nombre de messages : 531 Date d'inscription : 30/08/2006

Manon semblait s'ouvrir devant lui, invitation à un partage des plus doux. Son pantalon glissa aux bas de ses jambes, puis par terre. Il se coula en elle, et leur ébats passionnés devinrent bien plus amoureux. L'amour les consummait, la retenue qui avait été la leur depuis des jours n'avait fait que décupler l'envie mutuelle. Les draps glissèrent sur leurs corps nus, mais eurent bien du mal à rester en place. La chambre résonna plusieurs fois dans la nuit de leurs rales de plaisir, et ce n'est qu'au petit matin que le soleil les toruva endormis, enlassés dans les bras l'un de l'autre.

Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 27/04/2007

Enlacé dans les bras de son époux Manon dormit apaisé, le sourire aux lèvres. Fatiguée des ébats de la nuit, surtout de l intensité donnée, elle ne fut pas réveiller par la lueur du jour. Ses doigts bougeaient tous seuls, en faisant de minuscules caresses.

C était un nouveau jour… le commencement de la vie à deux.

Conseil Nombre de messages : 531 Date d'inscription : 30/08/2006

La lumière éveilla Gillas. La nuit avait été courte, mais ses rondes permanentes de ces derniers mois faisaient fuir le sommeil plus vite. Il sentait les caresses de Manon sur son torse. Il tourna doucement la tête, n'osant bouger de crainte de la réveiller.
Il l'admira alors, la tête posée sur sa poitrine, son corps gracieux allongé sur le lit, le drap posé sur elle, dévoilant ses formes généreuses. Elle semblait dormir du sommeil du juste, et le sourire affiché sur son visage laissait penser à Gillas que la vie à deux commencait comme dans un rève.

Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 27/04/2007

Manon ouvra les yeux doucement et vit Gillas, elle lui sourit largement, et soupira d aise. Alla chercher ses levres pour lui dire bonjour. Elle ne rougissait plus desormais a etre nue devant lui.
Un sourire coquin se fit sur ses levres.

avez vous bien dormit? mon tendre epoux.

Conseil Nombre de messages : 531 Date d'inscription : 30/08/2006

Gillas vot briller une lueur si particulière dans le regard de Manon. Une petite flamme qui disait qu'elle en voulait encore, malgré tout ce qui s'était passé cette nuit. Il l'embrassa quand elle s'avanca vers lui en tendant ses lèvres. Il lui caressa les cheveux, puis la joue.

Oui, ma mie, adorablement bien. Mais à vos cotés, comment pourrait il en être autrement ?

Nombre de messages : 353 Date d'inscription : 27/04/2007

Manon rit doucement , en se laissant embrasser. Puis se glissa sur lui et regarda.

il ne peut en etre autrement, mon amour "rit"

Et a ce moment, tout pouvait recommencer, ils en avaient envie tout deux, apres il serait temps de prend un petit dejeuner digne de ce nom.

Conseil Nombre de messages : 531 Date d'inscription : 30/08/2006

Gillas la dévorait des yeux. Il passerait ses journées à lui faire l'amour si la possibilité lui en été donnée. Mais dans ce cas, y prendrait il toujours autanbt de plaisir ? Il ne le savait pas. Pour le moment, son ventre criait famine, car la veille, il avait peu mangé, passant son temps à danser et à boire avec ses amis. Il déposa un baiser sur ses lèvres, les dévora un peu au passage, effleura l'épaule de Manon du bout des doigts en même temps qu'ils partageaient leur souffle, puis se redressa vivement.

Ma mie, vous pouvez entendre mon ventre qui appelle à la révolte. Et si ce vent de révolte se répand dans mon corps, je ne réponds plus de rien. Allons manger, mon amour, nous avons la journée pour nous, je ne travaillerai pas aujourd'hui.

Il se tourna, enfila sa chemise et commenca à fixer sa prothèse à sa jambe.

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